Le 24 mai, la chambre votera une révision de la loi de 2007 sur le changement de genre. Cette nouvelle version de la loi va assouplir les conditions imposées aux personnes qui veulent changer le genre indiqué sur leur carte d'identité. Jusqu'à présent ce changement devait être autorisé par un psychiatre, au même titre qu'une pathologie mentale. Il impliquait de facto une stérilisation (vasectomie ou ligature des trompes) de la personne. Cette contrainte était contraire aux normes internationales. Cette loi est une avancée notable mais ne permet pas encore la réversibilité du changement.