"Ils peuvent s'attaquer à nos institutions démocratiques, et utiliser d'autres outils, tels que la propagande et les fausses informations, dans des attaques hybrides", a averti le directeur de la sécurité de la Commission européenne, mardi dernier à Brussels, en marge des élections législatives en Allemagne. Julian King, a déclaré qu'une agence de cyber-sécurité européenne pourrait aider les États membres à défendre leurs élections contre de telles "attaques hybrides". Il a notamment cité l'exemple positif de la Finlande et de son "centre d'excellence" sur la guerre hybride.