Les politiques et pratiques actuelles vis-à-vis des réfugiés "ont mené à de graves violations des droits fondamentaux en Italie et en Grèce", conclut une nouvelle étude réalisée par le Parlement européen. Elle souligne que les pays ne sont pas parvenues à respecter leurs engagements conformément au programme de répartition, menaçant l'état de droit au sein de l'UE. "Les hot spots n'ont pas permis de réduire la pression subie par les systèmes italien et grec. Au contraire, ils ont alourdi le fardeau en raison des lacunes qu'ils présentent, (...) renforçant les défauts du système de Dublin".