Le juge du Tribunal national espagnol examinant l'affaire des marionnettistes dont le spectacle faisait apparaître une pancarte où l'on pouvait lire "Gora Alka-ETA", les avait condamnés à une peine d'internement préventif. Le juge poursuit désormais les deux accusés pour "apologie du terrorisme". Le dossier reste ouvert puisqu'ils sont aussi poursuivis pour crime de haine, ce qui doit être examiné par un juge d'un tribunal inférieur. Rights International Spain et d'autres ont fait appel au Groupe de travail de l'ONU sur la détention arbitraire afin de signaler cette affaire.