Mercredi, une Cour d'Appel de Hongrie a condamné un homme à trois ans d'emprisonnement pour avoir agressé physiquement et verbalement des participants de la Marche des fiertés de Budapest en mars 2013. Quatre autres accusés ont écopé de peines de prison avec sursis. Le 6 juillet 2013, trois hommes rentraient à leur domicile suite à la Marche, quand un groupe d'un vingtaine de radicaux les ont arrêté, insulté et tabassés. La Cour d'Appel a estimé que les slogans homophobes n'étaient pas protégés par la liberté d'expression, rejetant la décision du tribunal de première instance.