La Cour suprême d'Espagne a confirmé une peine de prison d' un an contre une personne qui avait retweeté des images de soutien à ETA ou rendu hommage à ses membres. La Cour a estimé que le retweet porte atteinte à la loi contre l "apologie du terrorisme". Pour les juges, il n'est pas nécessaire que la photo ou vidéo ait été prise par l'accusé.e, ou qu'il ou elle soit l'auteur.e du message. Le retweet suffit en lui-même a faire la publicité du terrorisme. La Cour a également rejeté que les messages relèvent de la liberté d'expression, l'apologie du terrorisme n'étant pas protégée par ce droit.