Selon les réponses des 120000 participants (12000 avaient pris des champignons hallucinogènes en 2016), cette drogue douce est celle qui a le moins entraîné de traitements médicaux. Telles sont les conclusions du Global Drug Survey 2017. En 2016, seuls 0,2% des consommateurs avaient eu besoin de soins d'urgence (un taux cinq fois inférieur à celui de la MDMA, du LSD et de la cocaïne). 28000 personnes ont déclaré avoir essayé les champignons au cours de leur vie. Pour 81,7% la prise de la drogue consistait à avoir une expérience psychédélique modérée et à améliorer leurs interactions sociales.