Le gouvernement espagnol a publié un rapport soutenant sa décision de ne pas faire des réparations à la victime après une décision contre l'Espagne par le Comité pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes de l'ONU. Le cabinet a affirmé que ces décisions "ne sont pas contraignantes". Position surprenante étant donné que les comités de l'ONU sont les plus hauts arbitres de leurs traités relatifs aux droits respectifs. Les Etats signataires reconnaissent volontairement leur compétence et ont l'obligation de remplir de bonne foi leurs recommandations, conclusions et décisions.