Un tribunal espagnol a ordonné l'ouverture de la première enquête criminelle visant les actions de représentants du gouvernement syrien pendant la guerre civile. L'affaire implique une femme espagnole, syrienne de naissance, qui accuse les forces de sécurité syriennes d'avoir torturé et exécuté son frère en 2013. Sa mort et des signes clairs de torture avaient été confirmés par les photographies qui avaient été sorties de Syrie. La cour estime qu'elle la compétence pour enquêter étant donné que la soeur de la victime est de nationalité espagnole.