Si le Royaume-Uni ne parvient pas à garantir les droits des salariés originaires des pays l'UE, cela aurait des conséquences dévastatrices pour le monde universitaire, préviennent dans une lettre à la Chambre des représentants de nombreux recteurs d'université. Les membres du personnel européens "s'inquiètent, certain sont désespérés, et prévoient déjà de partir", peut-on lire dans la lettre, signée notamment par la Vice-chancellor d'Oxford. Le document a été envoyée avant le vote sur un amendement qui garantit aux citoyens de pays membres le droit de rester après la sortie du Royaume-Uni.