«Les droits des citoyens en Lituanie sont violés. Les personnes LGBTI [...] sont repoussées (dans) le placard. Leurs actions publiques, se tenir par la main dans la rue ou mettre une photo sur Facebook pourrait les mener en prison. Cela ne devrait pas être le cas dans un pays de l'Union européenne», a déclaré en février l’Autrichienne Ulrike Lunacek, vice-présidente du Parlement européen. La Commission européenne a déjà envoyé une demande formelle à la Lituanie concernant les restrictions sur l'information qui «encourage un concept de la famille qui n’est pas celui prévu par la loi».