Cinq ONG, y compris l’Union hongroise des libertés civiles, ont adressé une lettre ouverte au président de la Hongrie sur le projet de loi sur le maintien de la centrale nucléaire de Paks, adopté par le Parlement. Les ONG réclament que le président János Áder initie une révision constitutionnelle de la loi récemment adoptée devant la Cour constitutionnelle. Les ONG sont inquiètes parce que la nouvelle loi limite sévèrement l'accès aux données d'intérêt public en rendant classées toutes les informations concernant la centrale de Paks pour les 30 prochaines années.