"Je ne crois pas aux accusations d'Amnesty International ou du Commissaire aux droits de l'homme du Conseil de l'Europe : ils doivent encore trouver les matraques électriques qu'ils nous accusent d'utiliser dans les "hotspots", et il leur faut encore proyver que l'Italie prend part aux refoulements de migrants vers la Libye", a déclaré Mario Morcone, chef de cabinet du Ministère de l'intérieur italien, au cours de la présentation du rapport d'A.I. 2017 sur la protection internationale en Italie, laissant place à un vif débat avec les représentants de la société civiles présents.