Beatrix von Storch, chef adjoint de Alternative pour l'Allemagne (AfD), et Alice Weidl, députée de ce même parti, font l'objet d'une enquête du procureur général d'Allemagne pour incitation à la haine. L'un deux avait tweeté que la police de Cologne tranquillisait "des hordes de gangs de violeurs musulmans barbares", dans un message de bonne année posté en allemand et en arabe. Résultat : leurs comptes FB et Twitter ont été temporairement suspendus en vertu de la nouvelle loi qui oblige les réseaux sociaux à retirer tout discours de haine, entrée en vigueur le 1er janvier.