Le 23 mai, les ministres de l'UE ont approuvé des propositions visant à amener les grands réseaux sociaux, tels que Facebook, Twitter et Google à s'attaquer aux vidéos contenant des discours de haine. Les propositions, qui constitueraient la première législation en la matière au niveau européen, doit encore être recueillir l'approbation du Parlement, avant de devenir loi. Face à la prolifération des discours de haine et des fausses infos, la pressions s'est intensifiée afin que ces contenus soient supprimés. Certains préviennent qu'une trop grande répression nuirait à la liberté d'expression.