Début août, un tribunal
d’Amsterdam ainsi que Autorité de protection des données (ONG), ont précisé que les villes ne pouvaient obliger les
travailleurs du sexe à fournir des informations personnelles sensibles
lorsqu’ils ou elles déclarent leur activité. Cela s’applique également si les
municipalités posent des questions personnelles au cours de conversations
menées lors des déclarations, le but étant de protéger ce groupe vulnérable
de l’exploitation. L’interdiction met les municipalités dans une situation
difficile. Peut-être le but principal est-il de lutter
contre l’exploitation.