Les données personnelles
de centaines d’étudiant.es ont été
transmises par Translink, une société qui gère une carte de transport public,
au ministère de l’Éducation néerlandais. Les services éducatifs ont demandé ces
informations afin de conduire des recherches pour identifier des
fraudeurs.euses qui auraient renseigné une mauvaise adresse. Translink a violé
une loi selon laquelle les données relatives aux voyages ne peuvent être
soumises à une tierce partie qu’à la demande d’un procureur public. Les services éducatifs ont donc été reconnus coupables de violation de la vie privée.