"Sans les migrants, nous serions perdus", a expliqué Tito Boeri, président de l'Institut de la sécurité sociale italienne (INPS) lors de sa présentation du rapport annuel de l'INPS devant le parlement italien, estimant que si l'Italie fermait ses frontières d'ici à 2040, cela entraînerait à une perte de 40 milliards d'euros et le pays ne serait pas en mesure de financer son système d'assistance sociale. Il est grand temps que nous comprenions que nous avons autant besoin des personnes migrantes qu'elles ont elles-même besoin de nous.