La CE va modifier les règles des contrôles frontaliers à l'intérieur de l'espace de libre circulation Schengen. L'un des changements envisagé consistera à utiliser les flux de terroriste et non les flux migratoires pour établir les contrôles internes. La CE agit sous la pression de l'Allemagne, de l'Autriche, du Danemark et de la Suède, ainsi que de la Norvège (non membre de l'UE), qui veulent étendre ces contrôles au-delà de la date butoir fixée en novembre. Les règles actuelles autorisent la réintroduction temporaire des contrôles aux frontières internes.