Suite au débat relatif au travail des ONG menant des missions de recherche et sauvetage en mer méditerranée et et aux accusations des médias et du public selon les quelles ces organisations seraient de connivence avec des trafiquants, le gouvernement italien a élaboré un "code de conduite" contenant 11 règles à suivre. Le projet de loi, qui a été soumis à l'approbation des institutions européennes, établit de nouvelles règles, comme l'interdiction de passer des appels afin d'aider à coordonner les bateaux de migrants et l'obligation d'avoir des agents de police à bord des navires des ONG.