Un groupe contre la
haine sur Internet, fondé par le ministère de la Justice, entreprises et ONG, a
présenté ces résultats. La liberté d'expression protège la révolte,
mais, selon le ministre, cette liberté ne permet pas les appels à la violence
ou attaques de la dignité humaine. L’incitation à la haine qui est une
infraction pénale. Les entreprises doivent supprimer le contenu haineux en 24
heures si elles violent le droit allemand. Netzpolitik.org critique ces
résultats comme vagues et juridiquement non obligatoires. Pour No-Nazi.net il
reste beaucoup à faire dans ce domaine.