Ada Colau, la maire de Barcelone, a proposé que la ville se joigne à un «réseau de villes-refuges» afin d'atténuer le drame des réfugiés syriens en déclarant: «Notre mer est remplie de morts. Les frontières remplies de fils, pics, lames … et morts. Une partie de l'Europe crie, hurle, veut qu'ils soient sauvés, ne veut pas leur mort, mais ne veut pas qu'ils viennent, veut qu’ils s’en aillent, qu’ils disparaissent, qu’ils n’existent pas, alors ne voulons pas les voir à la télévision, ou pire encore, dans nos rues, avec leurs couvertures, dans le métro, ou à nos portes».