SAP, le syndicat italien de la police pénitentiaire, a montré publiquement, à l'Expo de Milan, son opposition à l'introduction du crime de torture dans le code pénal italien. "Le crime de torture pourrait entraver le travail de la police", a déclaré le porte-parole de SAP. Le Parlement italien a tenté à plusieurs reprises dans le passé d’introduire le crime de torture dans le code pénal, selon la demande des Nations Unies, mais les organismes d'application de la loi ont toujours montré, avec force et success, leur opposition à cette loi.