Le président du Conseil européen, Donald Tusk, s'apprête à faire savoir aux dirigeant.es des pays de l'UE que Brussels est prête à abandonner le système qui oblige les États à accepter un quota de réfugié.es. Tusk leur dira, lors d'un sommet ce mardi, que ces quotas ont été inefficaces et à l'origine de conflits, et leur annoncera un délais de six mois pour que les pays de l'UE trouvent un accord sur la réforme du système d'asile. En 2015, l'UE avait mis en place un système de quotas, mais plusieurs pays de l'Est avaient refusé ces termes.